Le déni du mis en examen pour viols sur deux mineurs EMMANUEL BOSSHARTH, vu par l’expert psychologue désigné par la justice de Caen.

****AFFAIRE EMMANUEL BOSSHARTH mis en examen pour viols sur mineurs et détention et consultation de pedopornographie**** :

Une des questions posées à l’expert psychologue via l’ ordonnance du juge d’instruction est évidemment:

« Dans l’hypothèse d’une déclaration de culpabilité de l’intéressé, Dire quels sont les éléments factuels et biographiques qui l’ont conduit au passage à l’acte »

Réponse de l’expert :

 » Nous ne pouvons répondre à cette question, l’intéressé se déclarant innocent des faits. Il aura la même position avec nous que lors de ses auditions, il ne les a pas touchés, il n’a pas abordé la sexualité avec eux, il est innocent de tout ce qui lui est reproché ! « 

Mais avant d’aboutir à ces conclusions,  voici quelques explications très éclairantes de  l’expert psychologue au sujet de BOSSHARTH :

« Chez lui, le clivage apparait le mécanisme de défense le plus employé. Les éléments clivés ne le sont pas en permanence, mais de manière dynamique en fonction de la situation. Il est actuellement dans une négation, il fonctionnerait avec des mécanismes de défense tel que le déni et la projection.

Par le déni, également très présent, les éléments dérangeants sont considérés comme inexistants. Ils ne font donc pas l’objet de représentations et ne peuvent, par conséquent, être mentalisés par le sujet.

Par le mécanisme de projection, les tendances pulsionnelles, les imagos, les fantasmes sont attribués à l’autre, ce qui crée des situations relationnelles difficiles. »

« Il éludera et évitera de répondre aux questions de l’expert sur les consultations
d’image pédopomographiques, mais nous comprendrons qu’il allait sur le darknet pour les chercher » …notera l’expert à propos de ce qui a été retrouvé dans le PC de cet ex chimiste directeur R/D chez exeol, une marque Sodel – Hygiène Désinfection Surodorants. Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH)  Groupe HLD .

Rappelons que les spermatozoïdes de ce chimiste ont été identifiés par leur ADN,  tartinant un mineur de 13 ans.
Bien entendu,  ces cellules agiles et explosives sont présumées innocentes 😉

NUL doute que devant les juges, EMMANUEL BOSSHARTH, poursuivra la posture qu’il a adoptée depuis bientôt 3 ans: le retour en arrière semble impossible à cet homme qui a développé des alibis dignes de films d’anticipation, pour couiner #jairienfait.

À moins que son conseil ne réussisse à lui ouvrir les yeux sur la suite?

À moins qu’ à la lecture de son expertise psychologique, il se reconnaisse enfin? À moins qu’ un véritable ami (s’il lui en reste…) ou sa famille l’y aide? Cette même famille qui semble le connaître si mal en disant de lui que c’est une personne  » intègre et droite »…

Ha, l’ intégrité des spermatozoïdes et leur rectitude…

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