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EMMANUEL BOSSHARTH, au milieu des plaignants dont l’un déclarera à la Brigade des mineurs qu’il a été violé la veille au soir de cette photo (le mineur de 13 ans, à gauche de la photo, qui à l’évidence essaie de s’écarter du bras du désormais double mis en examen). L’autre mineur déclarera avoir été violé, le soir même de cette prise de photo. ÉTRETAT, samedi 13 juin 2020.

Du viol de mineurs à leur prise en charge par les institutions : les « maux » pour le dire en
France. Bilan de ces dernières années de données, pour quels résultats?

« Il nous a violé »….

Ça devait être un week-end agréable en Normandie chez un ami perdu de vue
depuis 12 ans…

Pour moi, il le fût finalement. Mais à durée extrêmement limitée…C’était simple et sympa… Comme une fête foraine où nous étions dans le même manège mais pas dans le même wagon…et quand le manège s’arrête …. « Terminus, tout le monde descend »… Jusqu’en enfer même peut-être…

Ce dimanche en fin de journée, on plie bagages, mais deux convives seulement sur trois à cet instant, rassemblent leurs affaires frénétiquement dans la seule et obsédante idée de partir vite et loin de cette maison du malheur ou plutôt devrais-je dire de leur malheur…et du mien. Partir à tout prix de ce lieu …

Cette maison véritablement hantée où les lits (surtout d’appoint) se font la malle couverts de providentielles régurgitations « éthyliques » et cela, bien évidemment dans les jours précédant l’arrivée des amis Parisiens.

Ni trop tôt, ni trop tard….. Tout comme ce téléphone qui, au moindre « bruit des bottes », ne reconnaitra soudainement plus « son Maître » qui colérique le cassera en miettes de ses poings et ce, évidemment la veille des premiers interrogatoires…

Ce même lieu enfin où les pyjamas-voyageurs (surtout d’enfant) ayant, il faut croire la permission de minuit, quittent la chambre à coucher pour rejoindre,  dans la salle informatique de la maison, le « branleur » (quotidien parait-il…) cloué devant PornHub ou autre site porno, le torse déjà ensemencé… Balade nocturne bien audacieuse, le risque, à tout instant (pour ces pyjamas-voyageurs), de tomber sous la main tâtonne de l’hôte assouvi …

Enchanteur tout ça… Mais, le problème Emmanuel BOSSHARTH, c’est que nous on n’y croit plus, et depuis longtemps aux fantômes… Et que d’ectoplasme, s’il en était un seul dans cette maison, c’est celui qui a tout orchestré dès notre arrivée le vendredi soir, une partition sans fausses notes, si j’ose dire… car dans l’art de répandre le malheur en un temps record, on peut véritablement parler de chef d’œuvre…

Un chef d’œuvre qui brûlait depuis 2 jours dans la tête de mes enfants et qui dès le « périmètre de sécurité » autour d’eux revenu en s’éloignant sur le chemin de PARIS, je devais apprendre et entendre le pire de leur part, l’explication par le menu du Dark-week-end, celui où présente je n’ai rien vu et pour cause, ces deux jours où il viola, soir après soir, selon leurs déclarations, l’un après l’autre, ce que j’ai de plus cher et ce, à quelques mètres seulement de moi…

Je n’aurais jamais cru, eux ils ont vu et je les crois !

Les faits dénoncés dès le début du voyage de retour pour PARIS, le cauchemar, désormais collectif, pouvait commencer…
La chance dans ce malheur est qu’ils ont eu l’énergie, le courage ou que ne sais-je
encore, de me confier immédiatement les faits dont ils avaient été victimes…

« Il n’est jamais trop tard »

Si vos enfants sont victimes de viols ou d’atteintes/agressions sexuelles, il FAUT
dénoncer…. N’avoir ni peur, ni crainte ou culpabilité vis a vis de ces actes ignobles
!
Allez voir un médecin, et déposez plainte !
C’est non seulement une obligation personnelle mais aussi UN DEVOIR CITOYEN !


Dans le cas de mes fils: leur grand courage, leur confiance en moi, le lien de
communication particulier et fort que nous avons a permis qu’ils aient eu « la
chance » de se sentir suffisamment en sécurité pour m’expliquer à moi, leur mère, ce
que « l’ami d’antan » leur avait fait subir tour à tour durant ces 2 jours.


Les larmes aux yeux et le cerveau dans les godasses, nous ne pensions qu’à rouler,
seule issue pour nous éloigner du monstre (c’est comme ça que l’appelle mon fils
aîné) et se rapprocher de notre maison à Boulogne-Billancourt…


Sur le chemin, hormis les automatismes me permettant encore de conduire pour fuir
ce lieu, on communie, tous trois dans un état de sidération absolue….. Sentiments
mêlés de trahison, de dégoût et d’horreur, je parvenais, tant que faire ce peut, à
téléphoner comme on s’accroche à une bouée de sauvetage, aux amis juristes, à
Maître Gabriel de Froissard de BROISSIA, mon Avocat, à des amis…, tous supposément susceptibles
à cet instant d’exorciser notre douleur durant cet interminable voyage…


Il faut le croire, le très double Emmanuel BOSSHARTH, portant beau du haut de
ses 45 ans, cadre directeur respecté et au-dessus de tout soupçon à la Société
SODEL située à LISIEUX…


Lui? Oui « Lui » qui aurait donc, à jamais, sali mes fils….


De retour, enfin, en région Parisienne, le chemin de croix, que l’on pense, de tout
temps, exclusivement réservé « aux autres » … POLICE, PLAINTE, EXPERTISE
PSYCHOLOGIQUE de mes fils sur réquisition des services (sans ambiguïté
aucune concernant la véracité de leurs dires….et pour cause….)…


Liam et Nils, mes garçons auxquels on ôta un week-end de juin, leur JOIE, leur
CONFIANCE en l’autre, leur sérénité… Et enfin, leur candeur, jours après jours,
disparaissant SOUS MES YEUX de MÈRE, spectatrice impuissante des
changements comportementaux manifestes, si symptomatiques de cette blessure
vive, mes enfants semblant laisser, dès lors derrière eux, leurs rêves et leur
innocence…


Chaque jour passant amenait peu à peu son lot de nouvelles confidences, de détails
occultés des actes odieux commis sur eux par « l’ami CALVADOSIEN »…comme ils continuaient à les déclarer.

« Peut-être pas à son « Coup d’essai »….

Liam, 13 ans a déclaré que la nuit où il aurait été violé, le mis en cause aurait eu
plaisir à lui raconter qu’il se serait, une dizaine d’années auparavant, masturbé sous
la douche devant et en « compagnie » de son frère aîné alors âgé de 4 ans, éjaculant
devant lui, gosse ingénu auquel il se serait « amusé » à faire croire « que c’était du
pipi’ (dixit)…

« Alors….!!? « 

Dans ces conditions, la sacro-sainte présomption d’innocence n’est-elle pas « de
trop » lorsqu’elle n’a finalement d’autres conséquences que de bâillonner des
victimes durant des années alors que (toutes) les preuves sont là?
Ces crimes odieux ne mériteraient t-ils pas de « bénéficier », par principe, et au
contraire de la « présomption de culpabilité », dérogation pourtant consacrée, dans
certains cas, par les Sages de la Cour Européenne des Droits de l’Homme * (rien
que ça….!!!) afin d’atténuer leurs souffrances immédiates et leur permettre, le plus
rapidement possible de « se reconstruire »?

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