Accueil et à propos

Maman de deux garçons de 13 et 15 ans en 2020, agent assermenté de l’État.

Notre histoire débute le dimanche 14 juin 2020 lorsque mes deux fils âgés de 13 et 15 ans me déclareront, au retour d’un week-end passé en Normandie chez M.
Emmanuel BOSSHARTH, avoir tous deux été violés par cet homme en qui j’avais une confiance bien légitime, l’ayant hébergé un temps à mon domicile
une douzaine d’années auparavant.


De retour à PARIS, les faits dénoncés seront rapportés auprès des services de Police de BOULOGNE BILLANCOURT (92). Plainte pour viols sur mineurs
de moins de 15 ans sera alors déposée à l’encontre de M. Emmanuel BOSSHARTH, agresseur désigné par mes deux enfants.


Dès lors, une expertise médico-psychologique sera ordonnée afin que soit « judiciairement » portée une appréciation sur leurs dires…


Les conclusions du rapport seront sur ce point éloquentes :


1) – Leurs déclarations sont COHÉRENTES,


2) – Rien ne permet, au terme de l’entretien, de remettre en cause LEUR CREDIBILITE.


Malgré les atermoiements policiers et de multiples péripéties judiciaires, M. Emmanuel BOSSHARTH, désigné par mes fils comme étant l’auteur des viols et
agressions à caractère sexuel tels que dénoncés, sera finalement mis en examen le 11 septembre 2020, (près de 3 mois après les faits…) pour l’ensemble des
chefs de poursuite susvisés, le juge d’ instruction chargé de cette affaire ayant considéré, au terme de ses multiples interrogatoires, qu’il existait, malgré ses
dénégations et selon l’expression consacrée, « des indices graves et concordants » à son encontre…


Toutefois, fait que probablement seuls les hommes de lois et nos « dirigeants » qui les rédigent arrivent à « comprendre », M. BOSSHARTH dont la destination
(bien logique pour tout un chacun, voire pour certains juges en exercice) était de finir au fond d’un cachot étiqueté « pointeur » a, contre toute attente, bénéficié d’une mansuétude (assez inexplicable, il faut le dire) de la Justice caennaise en étant finalement placé
sous le régime très « libéral » du contrôle judiciaire…je rappelle ici, que l’on peut être au fond d’un cachot, tout en étant présumé innocent.


PARLONS FRANÇAIS… !
Donc…. LIBRE comme l’air…


Pas même un bracelet électronique pour se donner au moins l’illusion « qu’on l’a à l’œil »…


Je crois mes enfants, les faits dont lesquels ils ont été victimes ne font aucun doute à mes yeux…

Aussi, ce ne sera pas violer le principe de présomption d’innocence dont bénéficie M. BOSSHARTH que de dire qu’il ne lui reste plus qu’à recommencer…

MAIS, ce que je ne souhaite bien entendu pas, si d’aventure des faits de cette nature devaient se reproduire durant la longue procédure judiciaire qui débute seulement, le box des accusés de la Cour d’Assises qui attend tôt ou tard « l’ami Normand » risque d’être plus chargé que prévu…


Préparez vos masques car les « règles de distanciation sociale» risquent de ne pas pouvoir être respectées…


Paroles de dépit… Probablement…

Mais, paroles d’une femme, mère de deux enfants brisés, qui sait qu’elle a assurément franchi « le mur des cons », mais à laquelle on aura bien du mal à faire plus longtemps « croire en la Justice de son Pays »…
A VOUS D’EN JUGER…

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