De la presomption d’innocence dans l’affaire EMMANUEL BOSSHARTH, mis en examen pour viols sur mineurs de 13 et 15 ans le 11 septembre 2020 par le Tribunal Judiciaire de Caen.

EMMANUEL BOSSHARTH, mis en examen pour viols sur mineurs de 13 et 15 ans depuis le 11 septembre 2020, SOUHAITE que TOUTES LES PUBLICATIONS FAITES de cette information soient retirées, au sens où son NOM est donné.

SOYONS de BONS citoyens, ne méconnaissant pas les LOIS (et elles sont nombreuses, et complexes, ces lois!):

DIRE d’un individu qu’il est MIS EN EXAMEN pour des faits graves et concordants, ou pour des INDICES GRAVES et concordants, procède du champ lexical des juristes, des journalistes, des experts, et n’est pas attentatoire à la présomption d’innocence d’un individu.

EN REVANCHE, ce qui est clair, dans notre société, c’est qu’en qualité de partie civile, je veux bien :
Déjà supporter mon rôle de mère des victimes en attendant, bonne élève que la Justice fasse son travail,

Être bâillonnée durant des années de procédures pour le respect des droits de la Défense (en l’occurrence la présomption d’innocence).

En clair et plus trivialement, qu’une partie civile à laquelle on donnera au final le Titre de Victime doit en fait « prendre sur elle » pour une longue durée, et cela pour le seul « bien être » judiciaire de celui qui deviendra à terme officiellement son tueur ou son violeur…

tout cela dans une période de fragilité occasionnée par l’infraction qu’elle a subie…

Éventuellement supporter, comme c’est notre cas, les élucubrations, dénégations et autres hypothèses que leur agresseur doit développer avec force de détails pour avoir une « chance » d’être cru, mais qui, à force, vire à l’injure,

MAIS EMMANUEL BOSSHARTH, ta mise en examen, ton CONTRÔLE JUDICIAIRE sont DES FAITS, qui n’atteindront pas ta présomption d’innocence, mais qui donneront à lire à ce monde, qu’un juge a considéré les déclarations de mes fils comme plausibles.

BISOUS.

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