Pèle mêle de l’actualité qui me fait réagir, où l’absence de cohérence dans la prévention, la punition ou la rehabilitation des actes pedocriminels.

Emmanuel Bossharth entouré de sa première victime présumée du week-end et de sa future victime présumée selon les déclarations de celles-ci. Bossharth aurait même déclaré à l’aîné avant les faits dénoncés « alors, comme ça, c’est toi ma seconde victime ? On voit bien mon cadet sur la gauche, qui passe son temps à tenter de s éloigner du monstre comme il l’appelle aussi.
Comment ne pas réagir à ce genre de reportage, quand on sait que la justice se moque par ailleurs de victimes, et de leur « réhabilitation » quant à elles ?
Pour se soigner de viols, avant que le violeur ne soit définitivement condamné , les enfants ne peuvent s’appuyer que sur des adultes, aux frais de familles qui sont pour certaines exsangues: y compris leurs soins, en tant que victimes seulement présumées, sont ignorés.
Et ce ne sont pas les éventuelles informations laissées par les commissariats lors des dépôts de plainte qui sont aidantes… Le milieu associatif cité dans des formulaires « d’aides aux victimes » reste une feuille de papier quand vous avez besoin d’humains accessibles rapidement …