Peut-on reprocher à quelqu’un, ce que l’on fait soi-même, mais… En pire ? Illustration avec EMMANUEL BOSSHARTH et ses présomptions voire accusations de mensonge des parties civiles.

Affaire EMMANUEL BOSSHARTH mis en examen pour viols sur mineurs et détention et consultation de pedopornographie, où… Comment un mis en examen use des mêmes voies que celles qu’il reproche à la mère protectrice (mais quant à lui, en disant les victimes menteuses)…

-fin 2021, EMMANUEL BOSSHARTH perd son référé à Lisieux contre mes publications.

-janvier 2022, en réplique, qu’à cela ne tienne, il écrit à l’employeur de la mère des mineurs,  M. Le Préfet des HAUTS-DE-SEINE, et copie à sa Direction Départementale de la Protection des Populations qu’il est innocent, et qu’il pense que les enfants ont menti car leur mère « exerce de la maltraitance psychologique sur ses enfants ».
Ambiance ! Il rajoute même avoir RDV avec des médias, lesquels ne paraîtront jamais…

C’est ainsi que l’avocat des mineurs écrira au juge d’instruction…
« la question se pose naturellement de la compatibilité du courrier adressé au Préfet des Hauts-de-Seine et à la DDPP 92 en date du 5 janvier 2022, avec les obligations imposées à Monsieur BOSSHARTH dans le cadre de son contrôle judiciaire.

Il ne s’agit en aucun cas de polluer le dossier d’instruction sans le faire avancer.
Il s’agit de faire part d’une interrogation légitime de Madame KOJFER-LOMONT, dont l’employeur a été contacté par Monsieur BOSSHARTH, lequel est soumis à une interdiction d’entrer en contact avec ma cliente, directement ou indirectement. »

Alors, amis avocats, le courrier de BOSSHARTH à l’employeur d’une des parties civiles (la mère), est-il une calomnie ou une diffamation ? (en plus d’être constitutif d’une possible rupture de contrôle judiciaire)

À vos claviers !

PS: les écrits envoyés aux employeurs de BOSSHARTH avaient rappelés, quant à eux, la presomption d’innocence de leur salarié… À la désormais double mise en examen.