Les interrogatoires nombreux de ce singulier ex cadre de la chimie de Lisieux, remercié depuis, ont de quoi ramener les scenarri de fameux polars, au rang de ceux de l’inspecteur Gadget.
Je sais, c’est mal parti pour la carrière de scénariste à HOLLYWOOD de ce double mis en examen.
Quelles sont donc les théories de ce singulier bonhomme, qui se décrit lui-même comme alcoolique, piquant des crises de colère « rage quit » (hystérie ?), que la première expertise psychiatrique explique être fragile et avoir déjà subi un effondrement psy.
Elles sont nombreuses, tellement nombreuses que je ne vais pas toutes les décrire ici.
Je vais cependant vous expliquer sa plus récente hypothèse, pour expliquer pourquoi deux mineurs l’auraient mensongèrement accusé de viols sur leurs personnes.
Tenez vous bien, la barre de la créativité max est franchie:
Vous comprenez m’sieur le juge, les enfants ont menti car ils sont maltraités psychologiquement par leur mère ! Mais comme personne ne le voit et qu’ils sont ces victimes occultes, bah, ben ils ont inventé ces viols comme ça, ENFIN, ils pourraient se montrer comme des victimes hein.
Ben enfin BOSSHARTH, t’as pas alerté les services sociaux de cette maltraitance ?? C’est ballot . Si tu le fais n’oublie pas de compléter ton signalement du palmarès judiciaire que tu te trimballes hein. Fais pas comme pour ton mandat de responsable d’antenne syndical… où l’oubli de ce détail a valu que tu le perdes sur le champ quand ils ont appris tes médailles.
Donc en résumé, deux ados de 13 et 15 ans, qui ont une maman qui les élève avec des valeurs et une éducation sans concessions (de respect, d’honnêteté, de sérieux) vont se transformer en fieffés menteur pour leur propre nécessité ?
Powpowpow, la, j’avoue, la barre est franchie 😜. Et comme n ième scénar justifiant la présence de ton foutre à l’ADN bosshartien sur le plus jeune des enfants, t’as pas mieux que le drolissimme « transfert de spermatozoïdes par la mère « .
Bon un petit conseil, te lances pas à HOLLYWOOD, le ridicule peut tuer parfois. Sait-on jamais que le cinéma aie plus d’effet sur toi que du KCl sous dosé…
