Les plateformes numériques dans les enquêtes : un sérieux atout dans l’affaire EMMANUEL BOSSHARTH, mis en examen pour viols sur mineurs et détention et consultation de pedopornographie.

Dans l’enquête qui avait conduit en 2018 EMMANUEL BOSSHARTH, devant le commissariat de Lisieux, Google et Grindr avaient parfaitement renseigné et collaboré avec les services de Police de Montpellier.

Un jour, en 2017, un inconnu se présente au commissariat de Montpellier pour signaler qu’un « date » Grinder lui avait fait des avances, incluant la description de propositions de nature pédophile.

Le « date » (sur les photos, jeune premier aux atours avantageux) lui a en effet proposé de venir au RDV, « accompagné de son petit frère de 2 ans qu’il s…tous les jours après son biberon »

L’inconnu de lui répondre « t’es pedo, ça craint » sans plus d’échange du singulier et inquiétant « date » en question.

Google et Grindr ont délivré à la police les email et téléphone portable… D’EMMANUEL BOSSHARTH comme étant à la base de ce curieux profil « date » Grinder…
Mais l’individu avait vraisemblablement brouillé l’IP dira l’opérateur Free, en se connectant à la célèbre plateforme de rencontre Gay.

Emmanuel BOSSHARTH ressortira donc libre de son « RDV » avec la police lexovienne.

Pourtant en 2020, mis en examen pour viols sur mineurs de 13 et 15 ans, les ordinateurs D’EMMANUEL BOSSHARTH sont enfin démontés, et… des preuves embarrassantes de ce mystérieux homme au petit frère de 2 ans, ressurgiront par le « hasard » d’une sacré expertise informatique.

https://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/preuves-numeriques-dupond-moretti-face-a-la-resistance-des-plateformes-04-02-2022-2463434_1897.php

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :