Les pédocriminels, majoritairement des PERVERS.
« Le déni pervers est caractérisé par la coexistence au sein d’une même personnalité de deux jugements contradictoires, sans relation avec la réalité extérieure.
La banalisation et la minimisation ont pour fonction de maintenir la stabilité émotive face à des menaces et des angoisses liées à l’intégrité physique ou psychologique. Ils ne relèvent pas uniquement de mécanismes inconscients. »
Dans les dénis, il y a plusieurs catégories. Tout le monde a entendu parler des dénis de grossesse, des dénis des personnes addictives (alcool, cannabis, etc.).
Cependant, il y a les dénis des criminels, majoritairement observés (non, je n’ai pas tué machine, non, ce n’est pas moi qui ai…). Parmi ces dénis, ceux des pédocriminels ne font pas exception. Dans une étude publiée sur ce site, il est établi que la catégorie des pédocriminels qui « avouent » leurs méfaits est minoritaire.
