EMMANUEL BOSSHARTH, mis en examen pour viols de deux mineurs de 13 et 15 ans depuis le 11 septembre 2020 par le TJ de Caen, continuera-t-il à porter plainte à son commissariat de Lisieux contre les parties civiles?
Vu comment le mis en cause a démarré et fini ses auditions de garde à vue au commissariat, et devant le juge d’instruction, cela est plus que probable!
POURQUOI CELA?
Parce qu’il ne faut pas être grand clerc pour comprendre la ligne de défense d’EMMANUEL BOSSHARTH, dr es scenarii, qu’on peut résumer à:
« j’vous jure j’ai rien fait » ou encore « la mère est hystérique, menteuse, elle a mis ça dans la tête de ses fils, c’est un complot contre moi ».
BREF:
Pour garder cette ligne (que dis-je, ce scenario des années 80), quoi de plus « normal » que de continuer à aller COUINER au commissariat que « Caroline KOJFER-LOMONT elle m’embête, elle arrête pas de dire que je suis mis en examen, que ceci, que cela, alors que je suis innocennnnnnnnt et que je veux que mes droits soient respectéééééés ».
RAPPELONS ICI qu’être MIS EN EXAMEN n’est pas un gage d’innocence des faits dont quelqu’un est accusé, et que présumé innocent non plus. La présomption, c’est sursoir à démontrer par la justice, ce qui doit l’être, à savoir que les plaignants doivent apporter la preuve de ce dont ils se plaignent.
EN CELA, EMMANUEL BOSSHARTH pourra continuer à COUINER TOUS LES JOURS AU COMMISSARIAT de LISIEUX, RIEN ne me fera cesser de donner des détails de l’instruction en cours, et de répandre sur les réseaux sociaux sa MISE EN EXAMEN, comme ma LIBERTE d’EXPRESSION ME LE PERMET.