EMMANUEL BOSSHARTH, le directeur R/D de SODEL – Hygiène Désinfectants Surodorants qu’a maintenu en poste Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH-NHES) me réassigne en référé au tribunal de Lisieux parce que le site Internet www.denoncetonpedo.com, mon Facebook et Twitter à priori, gênent sa susceptibilité.
Ceci est chose fort intéressante car alors, je reconvoquerai la presse à nouveau, pour assister aux audiences PUBLIQUES, et ferai connaître cette fois-ci les détails bien singuliers du dossier d’instruction, quant à la personnalité d’Emmanuel BOSSHARTH et quant à la posture de ses employeurs.
On aura rarement vu un mis en examen pour viols sur mineurs, dépenser autant d’énergie (et d’argent) à tenter de « laver » la communication des parties civiles.
Je rappelle ici, entre autres indices, que les spermatozoïdes du sieur EMMANUEL BOSSHARTH ont été retrouvés tartinés sur le T-shirt d’un enfant de 13 ans, et que la seule hypothèse pour justifier de leur présence a été de la part du mis en cause: « la mère est vétérinaire, elle a dû transférer mes spermatozoides »
comprendre: essuyer un linge mystérieux qui aurait servi à essuyer ceux-ci, sur le T-shirt de mon fils, après la séance de tire nouille de BOSSHARTH devant son porno nocturne quotidien, selon ses propres déclarations…chacun ses passions décidément!
La JUSTICE, dont l’objectif premier est de protéger les faibles, les véritables personnes qui n’obtiennent jamais ou rarement gain de cause, comme les mineurs…réagira-t-elle pour faire cesser les sollicitations répétées de ses « services » par le mis en cause, alors que deux garçons, mineurs, dont les déclarations corroborées par expertise psy, n’ont pas encore obtenu l’action de la justice???