⚠️Dans l’affaire EMMANUEL BOSSHARTH, cadre supérieur directeur R &D mis en examen pour viols sur mineurs de 13 et 15 ans le 11 sept 2020 par le TJ de Caen, maintenu par la SODEL – Hygiène Désinfectants Surodorants Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) en poste malgré cela,
🛂Quelle éthique le groupe Groupe HLD racheteur de SODEL s’appliquera-t-il, lui qui est par nature « le partenaire, conseiller qui accompagne ses « pépites » sans contrainte de temps »:
🚫Continuera-t-il la politique qui consiste à ne pas se ranger derrière les plaignants et croire aveuglément le mis en cause?
↪️Rappelons ici que lorsqu’un juge d’instruction décide une mise en examen, c’est qu’il dispose d’indices graves et concordants pour ce faire…parmi lesquels:
➡️les déclarations des victimes corroborées par expertise psychologique
➡️la présence du sperme d’Emmanuel BOSSHARTH sur le T-shirt d’un enfant de 13 ans, et de divers objets décrits par eux
➡️le mis en cause et sa recherche sur le Darknet
➡️le mis en cause et sa précédente convocation en 2018 pour suspicion d’agression sexuelle sur mineur à Montpellier etc.
⁉️La réputation de Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) sortira-t-elle grandie du maintien quoi qu’il en coûte d’EMMANUEL BOSSHARTH, le temps de céder SODEL à Jean-Bernard Lafonta Groupe HLD?.