PAROLE de JUGE:
« Et que dit un agresseur d’enfants dans le cas de violences sexuelles ?Il dit toujours que ça n’est pas vrai. Et quand il est soumis à des preuves, il approuve mais [assure que] l’enfant était consentant. Puis quand le système judiciaire ne prouve pas que l’enfant n’était pas consentant, l’agresseur ajoute systématiquement qu’il pensait qu’il avait plus de 15 ans. »
Dans l’affaire EMMANUEL BOSSHARTH, mis en examen pour des faits graves et concordants de viols sur mineurs de 13 et 15 ans le 11 septembre 2020 par le Tribunal Judiciaire de Caen,
-ce serait la mère des plaignants qui aurait, par le MIRACLE du saint esprit, obtenu les spermatozoïdes du ppal suspect mis en examen, lors du week-end passé en famille chez lui,
Et qui les aurait « transférés » sur le t-shirt de son cadet, par « complot »…(et parce que je suis vétérinaire 🤣)
-et qui déclare parfaitement savoir que mes fils ont 13 et 15 ans,
Prochaine étape, si on en croit ce JUGE, EMMANUEL BOSSHARTH dira que mes fils étaient consentants ?
Allez, encore un peu d’imagination, la vie est pleine de surprises.
MOI je parierais que :
-le mis en examen niera les faits que mes fils déclarent avoir subi, jusqu’au bout,
-le mis en examen dira que mes fils à 13 et 15 ans étaient consentants de se taper le corps d’un type au physique singulier, de 45 ans…
-le mis en examen dira que mes fils étaient tellement consentants qu’ils ont accepté les 3 invitations à revenir SEULS chez EMMANUEL BOSSHARTH que ce dernier a proposées comme un lourdingue, les 2 mois qui ont suivi notre plainte.
MERCI FACEBOOK d’avoir précieusement gardé ces propositions en historique (que nous avions déclinées, vous l’aurez bien compris)
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