Cohérence: dire les accusations que mes fils portent à l encontre du mis en examen EMMANUEL BOSSHARTH, mais avoir le courage de nettoyer également devant ma porte et dénoncer les agissements de mon propre agresseur ainsi que celui de mon grand frère .

COHÉRENCE…

L’affaire Dutroux m’avait aidée à parler de cette pédophilie subie toute mon enfance, par un de mes « frères de lait » Thomas TANG, fils de ma nounou chez qui mon frère et moi avions été placés des années en pension complète du lundi au vendredi.

Je revelais à ma mère et mon père adoptant, ancien avocat, à mes 24/25ans, cette sorte d’ hybride de pédophilie extra-familiale et d’inceste qui ont marqué mon enfance, mais aussi celle de mon frère, victime selon ses declarations plus tardives des agissements de Jean-Claude TANG, autre fils de notre nounou, ex conseiller (en 2019) à la Présidence de la Polynésie Francaise.

Ce fut parler jeune adulte, mais pour constater la pleutrerie familiale: un silence circonspect autour de faits, retournés sagement sous le tapis.

De m’en insurger sur Facebook il y a quelques mois, a donné l’idée très farfelue je trouve, au mis en examen EMMANUEL BOSSHARTH qui me lit et me suit comme le lait sur le feu,
d’élucubrer que mon passé expliquait les accusations de viols de mes fils à son encontre, par un mécanisme de « transfert » 🤣.

(Soit dit en passant, on sait que les mis en examens pour viols sur mineurs se disent TOUS, à de très rates exceptions près, victimes des « autres » et quasiment jamais les auteurs de quoi que ce soit)

D’où peut-être, l’idée folle d’Emmanuel BOSSHARTH de projeter sur la mère des plaignants la responsabilité des faits qui lui sont reprochés par mes fils, et ce depuis ses gardes à vue puis sa mise en examen ce 11 septembre )

L’affaire EMMANUEL BOSSHARTH m’a permis d être le parent responsable, à l’écoute, que n’ étaient pas les miens.

L’affaire DUHAMEL m’a donné le courage de signaler il y a peu au parquet de Papeete, plus de 40 ans après, alors qu’ils sont prescrits et n’ étaient pas le combat de ma vie, les faits de viols dont mon frère et moi avons été les victimes.

Mais c »est bien le courage de mes fils, qui m’a décidé de révéler au grand jour aux institutions judiciaires deux suspects, dont il s’agira de savoir s’ils ont fait d’autres victimes en Polynésie française, où ils résident.

POUR que la PEUR change de camp.