Dans la tête d’un violeur en général, et d’un pédocriminel en particulier:
Lisez (au moins jusqu’à la page 103) ce long rapport qui étudie une cohorte de 176 violeurs (dont 70% est pédocriminelle).
Bien des aspects de leur personnalité, compilés minutieusement ici, sont si éclairants! Où l’on voit, entre autres points, le peu de succès de la réponse thérapeutique des condamnés qui restent dans le déni de leurs viols (déni exprimé avant voire y compris pendant leur incarcération): c’est logique me direz-vous? Mais la, c’est étudié statistiquement…
Des pédos qui sont dans la reproduction des violences sexuelles subies dans leur enfance, incapables de s’en départir, éprouvant majoritairement quasi, une sentiment d’apaisement au moment et après leurs viols:
les violés devenant violeurs
(pedocriminels), accusant les autres (les victimes) de complot contre eux, se justifiant par leur enfance violée MAIS…incapables de voir l’objet (au sens psychanalytique=la victime) comme étant « autre », incapables de réaliser les conséquences chez la victime pour la plupart d’entre eux (tout tournant autour du narcissisme extrême du pédo, qui ne comprend pas qu’il rejoue sans cesse la scène de SON VIOL passé, et qui se victimise en parlant de ce qu’il perd, ou de ce qu’il devra payer ) etc. TOUT Y EST DANS CETTE ÉTUDE!
BONNE LECTURE
https://criavs.fr/…/Rapport-de-recherche-balier…www.denoncetonpedo.com
www.denoncetonpedo.com 