PRÉSOMPTION DE VICTIMES CONTRE PRÉSOMPTION D’INNOCENCE dans l’affaire EMMANUEL BOSSHARTH mis en examen pour viols sur mineurs le 11 septembre 2020 par le Tribunal Judiciaire de Caen.

LA VÉRITÉ SORT AUSSI PAR LA BOUCHE DU MIS EN EXAMEN POUR VIOLS SUR MINEURS EMMANUEL BOSSHARTH. EXTRAITS CHOISIS DONT DISPOSE DÉSORMAIS LA PRESSE. ATTENTION, PRÉSOMPTION DE VICTIMES… CONTRE PRÉSOMPTION D INNOCENCE.

– le prévenu a déclaré avoir consulté de la pédopornographie sur le DARKNET, en se servant du browser TOR (navigateur qui permet de masquer les adresses IP d’un périphérique accédant à internet). A cette occasion, le prévenu a déclaré, (à minima), avoir vu « un sexe d’homme dans bébé »…

pour info sur TOR:

Tor le paradis des pédocriminels, mais que fait la Cyber-Police !?

-le prévenu a déjà été convoqué par la police il y a 2 ans, pour des faits d’apologie de la pédophilie sur des sites Internet etc., avec la précaution d’usage d’un VPN (brouillant les adresses IP) qualifiée de « préméditation » par la police

-le prévenu avoue avoir menti, quant à la nature de l’absence d’un des lits lors des faits (lit qui si présent, aurait permis que chacun ait un couchage décent indépendant de sa chambre )

– le prévenu a déclaré avoir jeté son téléphone professionnel dans les buissons de son jardinet (le seul téléphone en sa possession au moment des faits) peu avant sa convocation pour sa première garde à vue, mais que cependant il a déclaré à ses employeurs l’avoir perdu, ou cassé (il ne semble pas bien savoir)

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