MENSONGE n°1: Sieur BOSSHARTH ne pouvait pas venir hier au tribunal assister à sa propre assignation en référé contre moi car « il aurait peur, peur de moi, de sortir de chez lui, etc. »
–> FAUX. M. Emmanuel BOSSHARTH ne pouvait pas venir car IL A INTERDICTION de s’approcher de MOI, de mes FILS, MAIS également de TOUT LIEU COMPORTANT DES ENFANTS. Sinon, il irait directement en prison.
MENSONGE n°2: Sieur BOSSHARTH est affecté par mon name and shame, du coup il prend 3 medocs antidépresseurs et a tenté de se suicider.
–>FAUX et INCORRECT
Au mieux l’ordonnance qu’il a produite en date du 7 octobre est une ordonnance de renouvellement de ses nombreux traitements, en alternance avec de grosses quantités d’alcool, au pire une ordonnance de complaisance comme l’a plaidé mon conseil. Au final, la juge des référés a considéré que cette ordonnance de medocs ne prouvait pas gd chose.
–> M. Emmanuel BOSSHARTH déclare dans ses auditions manger une quinzaine (sisi) d’antidépresseurs depuis plusieurs années, et avoir par le passé déjà attenté à ses jours 2 fois.
Mince, lui, grand chimiste, ne semble pas connaître les substances toxiques, ni n’y avoir accès à Lisieux à la SODEL ?
Ps: le chlorure de potassium ingéré per os s’élimine à 75% par les reins. C est accessible en un clic sur Google…
Quant au monoxyde de carbone, il n est plus très puissamment produit par nos voitures depuis qques dizaines d années.