Ce qui est fascinant dans le monde impitoyable des entreprises, c’est leur INCAPACITÉ à communiquer, anticiper les conséquences du maintien en leur sein d’un mis en examen pour viols sur mineurs : Emmanuel BOSSHARTH.
C’est par inexpérience de la situation, par soutien entre cadres, ou par fraternité masculine que les directeurs Gilles MIGNAN, Frederic LEAUTEY ou autres hiérarchiques ont fait le choix singulier de maintenir en poste Emmanuel BOSSHARTH mis en examen pour viols sur mineurs le 11 septembre 2020 par le Tribunal Judiciaire de Caen?
En tous cas, c’est une décision qui leur pèsera immanquablement, je le crains, lorsqu’ils connaitront les détails extrêmement lourds du dossier d’instruction sur leur singulier directeur R et D.
Et les directeurs de la SODEL pourraient bien apprendre certains détails le 19 novembre 2020, lors de l’ audience d’assignation en référé de plainte en diffamation au tribunal de Lisieux que leur Emmanuel BOSSHARTH a fait l’erreur d’enclencher à mon encontre, renversant la charge accusatoire.
SODEL #Lisieux aura-t-elle un sursaut d’intelligence de la situation ? Rien n’est moins sûr…