Vendredi 14 août: la police et la justice de Lisieux disposent des conclusions des expertises psy de mes fils. Pièce maîtresse qui statue de la véracité de la parole des enfants, qui ont je le rappelle déjà témoigné de longues heures devant des policiers experts (OPJ) durant le fameux interrogatoire Mélanie, avant de passer à la moulinette d’une psy experte, 8 jours plus tard, le 1er juillet 2020.
Rappel des faits: mes fils déclarent à l’issue du week-end du 12 juin 2020 avoir subi des actes qualifiables par le code pénal, de viols, par EMMANUEL BOSSHARTH.
14 août 2020, soit 2 MOIS après, le principal SUSPECT n’est TOUJOURS pas interrogé !
La police de Lisieux jointe par mes avocats (un second est venu en renfort, spécialisé en droit pénal), et jointe par moi-même avoue que le procureur de la République, ou son remplaçant, n’ont toujours pas programmé de garde à vue d’Emmanuel BOSSHARTH, malgré la gravité des faits qui lui sont reprochés.
Cela veut dire qu’un violeur (présumé) d’enfants est moins prioritaire que des fumeurs (présumés) de shit qui seraient aperçus en possession de cannabis mais qui finissent au poste le jour même!
Mais qu’est-ce qui ne tourne pas rond dans ce pays?
Faut-il un homicide pour que la justice passe la seconde ?! Sans homicide, pas d’urgence ?